Du jamais vu dans l’exercice du pouvoir. Quiconque qui douterait de la volonté du jeune président tchadien devrait se rendre à l’évidence.

Le Tchad commence une nouvelle ère avec le passage à l’ordre constitutionnel. Les tchadiens ont perdu la notion du civisme et l’amour du pays, cela se ressent dans leur quotidien jour après jour. Fonctionnaires, cadres privés, simples citoyens, tous se formalisent au travail avec légèreté et incivisme ambiant. Pour réorganiser l’esprit du travail et les conditions de respect, il faut un exécutif qui prône la volonté, la rigueur et le respect de la parole donnée.

Mahamat Idriss Deby Itno incarne sans doute l’autorité appliquée et la volonté du changement.

En patriote averti il a promis et voulu que le Tchad revienne à l’ordre constitutionnel pour pérenniser un pouvoir démocratique. Fort de cette situation, le président Mahamat Idriss Deby promet le changement définitif des méthodes, un élan certain pour endiguer les méfaits et les carences qui sévissent au cœur de l’état. Un changement qu’il ne cesse de répéter à longueur des réunions et en conseils des ministres. « Les tchadiens ont besoin de changement dit-il et il faut l’appliquer rapidement ».

Dans la promptitude qui est la sienne, Mahamat Idriss Deby applique toutes ses promesses évoquées. Il s’active dans le cercle restreint de la présidence à orienter les décisions pouvant rehausser le niveau des vies des citoyens, à traduire dans les faits ce qui a attrait au développement du quotidien de ses compatriotes.

Pour redonner à l’état un esprit de sérieux, il instruit les services compétents à suivre l’exemple de la bonne gouvernance, le travail sur le terrain des membres du gouvernement, à réduire le train de vie de l’état et à annihiler la corruption. Il le dit et le répète, le gouvernement est un socle de l’action et des objectifs. Ce gouvernement doit traduire dans les faits le programme de campagne qui est le résumé présent des promesses faites à l’endroits des compatriotes.

Conscient du problème de l’emploi, et dans le sillage des dissolutions de certains organes (FNDS, ONAJES) par exemple, il instruit d’intégrer tout le personnel à la fonction publique et les orienter en fonction des compétences et profils aux directions qui seront créer. Quoi de plus admirable, quand la dimension sociale est au centre des décisions.

Une providence, et une chance pour un pays comme le Tchad où tout est à reconstruire, de la mentalité jusqu’au compétence, il faut une autorité et une volonté de tout le temps pour réussir l’avenir. Sans populisme des travées, prompte encore à réussir le pari du développement, Mahamat Idriss Deby saura mener la barque à bord, à condition que les tchadiens le comprennent et le suivent dans l’élan de sa vision.

Vivement demain…

Tchadanthropus-tribune

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